J.C VUEMBA, interpelle le Gouvernement et la SCTP
L’Envol n°278 du lundi 21 au vendredi 25 Juillet 2014
J.C VUEMBA, interpelle le Gouvernement et la SCTP
Les électeurs de Kasangulu dans la Province du Bas-Congo ne peuvent que se réjouir et surtout être fiers de leur choix judicieux pour avoir jeté leur dévolu sur un défenseur courageux et téméraire.
Il s’agit de l’Honorable Jean Claude VUEMBA, qui du reste s’était déjà inscrit valablement dans la catégorie des véritables Députés Nationaux depuis la première législature de la troisième République jusqu’au jour d’aujourd’hui.
En dépit de ses brillantes interventions devant la tribune de la chambre basse du Parlement Congo, l’élu de Kasangulu vit au quotidien avec sa base naturelle et est mis au parfum de toute la situation de son bastion.
En véritable élu de proximité, tout récemment, il vient de tirer la sonnette d’alarme auprès du Gouvernement central par l’entremise du Ministre de Budget et même l’exécutif provincial du Bas-Congo du délabrement très avancé du pont Kasangulu, cession qui vient d’enclaver davantage la population de ce coin.
En conséquence, cette dernière est en difficulté pour évacuer les produits vivriers vers les centres urbains, notamment la capitale Kinshasa, créant ainsi un déficit sur l’approvisionnement de la capitale RDCongolaise en produits alimentaires. D’où la rareté des produits et l’ascension des prix sur le marché.
Faisant d’une pierre deux coups, l’élu de Kasangulu vient d’interpeller la Société Congolaise des Transports et des Ports (SCTP) du danger que courent ses machines suite à l’érosion qui ronge les rails de train au niveau de Kasangulu.
Contrairement à la sourde d’oreille de gouvernements central et provincial du Bas-Congo face à la détérioration du pont Kasangulu, la haute hiérarchie de la SCTP vient de dépêcher ses techniciens et autres experts sur le lieu pour évaluer le dégât en vue d’envisager une intervention rapide.
C’est ce qu’on appelle Député de proximité et un exemple à suivre pour les Députés qui sont déconnectés de leurs bases.
YONG’OLENGA