Alerte Plus n°1737 du jeudi 13 Septembre 2012

CANDIDAT DE L’OPPOSITION AU GOUVERNORAT DU BAS-CONGO

L’Honorable Jean Claude VUEMBA part favori à l’élection de l’autorité de cette Province

Le Député National Jean Claude VUEMBA est parmi tant d’autres de la naissance, pardon de la Majorité Présidentielle, en l’occurrence, l’Ambassadeur itinérant du Chef de l’Etat, Mr. Antoine Ghonda, l’Honorable Jacques Badu, le Gouverneur intérimaire Déo Nkusu, … candidat au poste de Gouverneur de la Province du Bas-Congo.

Certes, tous les candidats sont de taille. Personne n’est à minimiser. Toutefois, à partir du moment où l’élection du gouverneur de Province s’opère au second degré, la possibilité, pour l’Honorable Jean Claude Vuemba de remporter la palme de façon objective n’est pas à prendre avec pincettes et réserves d’usages.

Montre des faits viennent, en effet, étayer cette hypothèse. De prime à bord, nul n’est sans savoir que l’élection au second degré est faite au niveau des Députés provinciaux. Pour peu qu’on ait analysé, l’origine de chaque député provincial, l’on s’est vite aperçu que la grande majorité provient de la plate-forme politique de la gauche radicale de la République Démocratique du Congo. Il s’en suit, logiquement que celle-ci voyez cette plus grande majorité des parlementaires provinciaux ne pourront voter que pour leur pain, c'est-à-dire qu’ils ne vont accorder qu’au candidat Honorable issu de leur famille politique naturelle de l’opposition. Dans ce contexte de toute évidence, il devient clair que le candidat plus valable de l’opposition au Bas-Congo, n’est d’autre que le député national, Jean Claude Vuemba.

C’est ici l’occasion de ceux-ci de jouer franc jeu et de prouver leur sérieux à la face du monde, de la nation congolaise voire de leur propre contrée : la Province du Bas-Congo. Car, Jean Claude Vuemba, au regard de son passé élogieux à la récente législature voire à l’actuelle, de parts des ses interventions équidistantes à des plaidoyers par la cause nationale comme pour l’intérêt des communautés Bas-Congolais peut mieux que quiconque servir. Son entité régionale et en assurant un développement ou un épanouissement intégral de son peuple au vu de la position stratégique du Bas-Congo, de ses ressources sans compter le goût et l’engouement des ressortissants du Bas-Congo aux affaires.

Sans pour autant chercher à influencer l’électorat des députés du Bas-Congo, l’on est en droit, tout de même de rafraichir leur mémoire quant à la manière dont l’Honorable Jean Claude VUEMBA a autrefois défendu mieux pris fait et cause en faveur des Ne Kongo dans le dossier Bundu-dia Kongo, lequel a failli retirer son immunité parlementaire avant d’être jeté dans les geôles des services spéciaux. On l’a vu de même bousculer les conscients des autorités nationales et angolaises quand il justifiait la brutalité et la barbarie des Angolais dans leur façon de refouler les débrouillards congolais chez eux, on dirait qu’on ne vit pas en toute quiétude avec les angolais depuis l’époque coloniale.

Sorti premier des scrutins dans sa circonscription électorale, il n’y a pas à tourner quatre fois les ménages pour le développement de sa contrée par les habitants actifs, faut-il joindre défense de l’office congolais de contrôle (OCC) contre le Ministère de l’Economie, alors sous la houlette de feu Docteur Philippe Mfuta, le fonctionnaire international qui voulait avaliser la consommation des vivres avariés, selon les laboratoires de l’OCC. En savoir, les exemples de ses interventions de défense des droits et intérêts du peuple du Bas-Congo, en particulier et, congolais en général lors des plénières à l’hémicycle du Palais du peuple sont légions pour prouver son mérite de gérer la Province d’origine. De toutes les façons, quelques objectifs que puissent être ces éléments, il faut un peu de parcimonie. Car, une rumeur persistante tendant à devenir information, fait état de la circulation d’un communiqué dans les journaux non encore revendiqué, selon lequel à cette approche des votes du gouverneur de la Province du Bas-Congo. Ce document, révèle-t-on la corruption diurne et nocturne au top des députés provinciaux moyennant, chacun cinquante mille dollars américains dans le but d’arracher sa voix au candidat de la Majorité Présidentielle.

Quand on sait qu’il s’agit là du contribuable congolais, les députés provinciaux vont-ils avoir la trouille des sous de leur pays, on ne voter que pour le membre de l’opposition ? That is the question.

W. Adams